19 juillet 2008

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[Molécule]

Lol! Je n'aurais jamais cru qu'une chanson d'Isabelle Boulay puisse aussi bien exprimer ce que j'ai ressenti à l'époque. Du pathétisme bien sirupeux pour grands romantiques. Merci de compatir avec moi. Je devrai aller mieux dans pas trop long, fais toi-en pas pour moi. :-)

[Alex]

(À la demande générale de... euh... des acariens, voici une autre petite parodie (peut-être pas hilarante, mais qui va bien avec le contexte) de chanson pour notre pauvre Molécule. La chanson ici: Le Saule d'Isabelle Boulay)

Sans toi
J'ai essayé de me mitoser
Même si ça n'a jamais marché
Sans toi, sans toi
Mais c'était juste
Une partie de mon deuil
J'avais l'oeil
Rempli de larmes (ou d'un liquide y ressemblant)

Et je reste planté là
T'es détaché de moi
Pourquoi, pourquoi
Je te vois tout noirci et c'est nul
J'suis une molécule inconsolable

J'suis une molécule inconsolable
La plus désemparée des âmes
Qu'est-ce que ça peut me faire évoluer ou la Terre
Je t'aime, je t'aime

J'ai même plus de flagelles
Pour t'écrire ma vie sans toi
T'écrire, t'écrire
T'écrire, que je m'ennuie tout seul
Dans ce gros bouillon de vie
T'es si noirci
Irremplaçable (je sais, j'ai essayé de te retourner au magasin, mais y voulait pas)

Tous les enfants que j'ai fait
Peuvent venir me vénérer à jamais
Sans toi, ça ne vaut rien
Ça ne vaut rien, je pleure
Tu vois, je me sens ridicule
J'suis une molécule inconsolable

J'suis une molécule inconsolable
La plus désemparée des âmes
Qu'est-ce que ça peut me faire évoluer ou la Terre
Je t'aime, je t'aime
(refrain se répète...)

Bon courage Molécule ! ;)